On connait bien, ne serait-ce que de nom ce monument du conte indo-perso-arabe. Je recommande notamment la lecture de la traduction de Jamel Eddine Bencheickh et André Miquel qui est la plus fidèle de toutes. Bien évidemment, âmes sensibles s'abstenir car certains détails peuvent heurter la sensibilité des plus fragiles. Disons nous bien que la version la plus répandue de ces contes est celle d'Antoine Gallant qui date du 17ème siècle et épurée telle qu'elle l'est a moins de charme.
Bonne lecture.
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